Maman au bout du rouleau ? Papa en mode zombie ? Stop aux super-héros épuisés ! 🦸‍♀️💥🦸‍♂️

Publié le 11 avril 2025 à 14:00

Levez la main si vous avez déjà :
✔️ Caché du chocolat pour ne pas avoir à le partager avec les enfants.
✔️ Répondu « Oui, oui, bien sûr ! » sans avoir écouté la question.
✔️ Rêvé d’une nuit complète (ou d’un week-end entier en silence).

Si vous avez coché au moins une case, félicitations : vous êtes officiellement un parent en mode survie. 🎉

Entre les nuits hachées, les réunions d’école, la charge mentale XXL et la mission « ne pas oublier la compote dans le sac », être parent en 2025 ressemble plus à un marathon qu’à une balade champêtre. Et pourtant, on continue à vouloir tout gérer, façon super-héros invincible… jusqu’au burn-out parental.

Allez, on souffle un coup, on pose sa cape, et on regarde comment arrêter de courir dans tous les sens (et accessoirement, éviter de finir en PLS sous la table du salon). 🚀

  1. Le burn-out parental, c’est quoi au juste ?

Ce n’est pas juste de la fatigue. C’est un épuisement profond, émotionnel et physique, lié à une surcharge parentale.

🔬 Les scientifiques le confirment : Le burn-out parental a été identifié comme un véritable trouble, étudié par la psychologue Moïra Mikolajczak. Selon ses recherches, il se caractérise par :

  • Un épuisement intense : plus qu’une simple fatigue, un sentiment d’être vidé(e) de son énergie.
  • Une distanciation émotionnelle : on aime toujours ses enfants… mais on n’a plus la force d’interagir avec eux.
  • Un sentiment de dévalorisation parentale : la sensation d’être un mauvais parent, de ne jamais en faire assez.

Bref, ce n’est pas une « mauvaise passe »… C’est un signal d’alarme ! 🚨

  1. Pourquoi on en arrive là ?

Parce qu’on est en 2025, et que la parentalité ressemble à une compétition olympique.

🤹 On cumule tout : boulot, maison, enfants, gestion mentale… (Et non, personne ne nous a filé un diplôme de gestionnaire de crise à la maternité).
📱 On est bombardé de pression : Merci Instagram et les parents parfaits qui sculptent des lunchbox artistiques à 6h du mat’ pendant que toi, tu pleures devant ton grille-pain.
😵 On oublie de souffler : Toujours en train de courir, sans s’accorder une minute de répit.

Mais si Batman prend des jours off pour recharger ses batteries… pourquoi pas nous ?

  1. Comment stopper l’engrenage ? (Sans vendre ses enfants sur Le Bon Coin)

✋ 1. Déconstruire le mythe du parent parfait

Bonne nouvelle : il n’existe pas ! Les études montrent que les enfants ont besoin de parents « suffisamment bons », pas parfaits. Un parent fatigué mais aimant vaut mieux qu’un parent ultra-performant mais à bout de nerfs.

🔹 Objectif : viser l’équilibre, pas la perfection.

💤 2. Prioriser son repos (et non, ce n’est pas égoïste !)

Le sommeil, c’est LA BASE. Manquer de sommeil, c’est comme essayer de charger son téléphone avec un câble défectueux : ça clignote, ça plante, et ça finit en écran noir.

On lâche prise : si la vaisselle attend, tant pis. Si les jouets traînent, ce n’est pas grave.
On demande de l’aide : famille, amis, voisins… On n’est pas censé(e) tout gérer seul(e).
On s’octroie du temps OFF : une sieste, une marche seule, une série débile… Peu importe, tant que ça recharge nos batteries.

💙 3. Communiquer avec son/sa partenaire (et ne pas se transformer en colocataires épuisés)

Quand la fatigue s’installe, le couple trinque.

📢 On parle ! Qui se sent à bout ? Qui a besoin de souffler ? On évite le mode « pilotage automatique » où chacun gère sa galère en solo.
🤝 On répartit mieux : NON, le parent qui travaille n’est pas en « détente » au boulot. NON, celui qui reste à la maison ne « glande pas ». Le burn-out touche tout le monde.

🔄 4. Réorganiser sa charge mentale

La charge mentale, c’est comme un fichier Excel qui tourne H24 dans notre cerveau. Bonne nouvelle : on peut alléger le disque dur.

📝 On écrit ce qu’il y a à faire : Poser les tâches sur papier évite le brouillard mental.
🔄 On délègue et on responsabilise : Les enfants peuvent aider. Et si ce n’est pas parfait… c’est OK.
📅 On planifie du temps pour soi comme un rendez-vous pro : Si c’est noté dans l’agenda, on ne l’annule pas !

  1. Et si on acceptait d’être (un peu) égoïste ?

On l’oublie souvent, mais : un parent heureux = des enfants heureux.

👑 Faire passer son bien-être en priorité, ce n’est pas être un mauvais parent. C’est être un parent intelligent.

💡 Exercice express : Demande-toi, "Que ferais-je si j'avais 2h rien que pour moi ?" Et maintenant… trouve le moyen de le faire !

Parce qu’au final, ce dont les enfants ont le plus besoin, ce n’est pas d’un parent parfait, mais d’un parent bien dans sa peau.

Conclusion : On lâche la cape et on respire !

Les super-héros, c’est sympa dans les films, mais dans la vraie vie, on n’a pas besoin de sauver le monde tous les jours. Alors, on baisse un peu les exigences, on prend soin de nous, et on accepte que parfois, un simple câlin et un bol de pâtes, c’est déjà largement suffisant. 🍝💛

Et vous, c’est quoi votre meilleure astuce pour ne pas finir en mode parent-zombie ? Partagez en commentaire ! 👇😊

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